Bonne nouvelle : Bruss’Help est depuis peu l’acronyme de « Bientôt la Résorption Urgente du Scandaleux Sans-chez-soirisme, Hâtée par l’Éruption de Logements Pérennisés » !
D’ici-là, y a encore du boulot, et chacun doit jouer sa partition.
Pour sa part et s’agissant de Bruss’Help forcément ciblé de manière privilégiée (et néanmoins bienveillante) en tant qu’agence régionale en charge de la problématique du sans-chez-soirisme, le Syndicat des immenses s’emploie à implémenter le bon sens, à savoir remettre le logement au centre de la problématique.
Concrètement, après avoir obtenu que le Secrétariat d’État en charge du Logement soit représenté au CA de Bruss’Help (voir la manif au finish #1) et que la baseline de Bruss’Help inclue le mot de logement (voir la manif au finish #2), cette manif au finish #4 aimerait obtenir qu’on appelle un chat un chat et, en l’espèce, que Bruss’Help ne parle plus d' »insertion » mais de « (re)logement ». Tout porte à croire en effet que, pour des raisons que des historien·ne·s devraient démêler, le mot de logement brûle la bouche :
Et tant qu’à faire, autant en profiter pour proposer de rebaptiser dans la foulée l’autre axe majeur de l’action de Bruss’Help, dénommé « urgence », ce qui est une manière discutable de s’enorgueillir à bon marché de son service : faciliter l’accès à, par exemple, une douche est certes cool, mais relève plus du dépannage (qui n’est pas un gros mot) que de l’urgence. La seule vraie urgence, si on s’accroche au mot, est de soutenir le (re)logement de la personne.
Lire les paroles de Tout, tout, tout, vous saurez tout sur les immenses, la chanson sur laquelle nous allons danser tous les
